samedi 30 mai 2009

Lomo sapiens

Franchement, on me l'aurait dit je ne l'aurais pas cru.
En attendant la soirée E-citizen, en déambulant avec les potes de noctea.com le long du Canal Saint Martin, nous découvrons une librairie d'enfer : Artazart.

Et nous tombons sur le rayon Lomo.
Lomo, marque russe d'appareils photos indestructibles, vénérables argentiques aussi séduisants que bourrés de potentiel. Nous discutons avec le personnel charmant qui nous met en mains les différents modèles. J'opte pour le Fisheye 2, pas cher et qui ouvre de nouvelles perspectives.




Effectivement, la déformation fish eye et le concept de ce Lomo poussent à cadrer de manière pas possible, dans des positions pas possibles, et du coup l'oeil découvre les choses différemment. On voit différemment, c'est génial, excitant et enivrant.
Bon, il faut accepter le regard atterré des passants, devant une personne photographiant des panneaux de travaux ou des morceaux de mur accroupi l'objectif collé au sujet...

Je ne sors plus sans mon Lomo ni mes pellicules 24x36, et là j'ai vraiment l'impression de vivre dans un univers parallèle :)

Verdict ici même, après le développement de la péloche !

5 commentaires:

  1. Guillaume,
    La lomography, est vraiment formidable, plus que de la photo, c'est presque un art de vivre. J'ai beaucoup aimé ton article, il retranscrit bien la situation. Seule petite précision tu aurais pu dire que c'est moi qui te l'ai fait découvrir :)

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  2. Oui bon, précisons que Christophe de noctea.com connaissait déjà les Lomo :)

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  3. C'est incroyable l'effet de cet appareil. En plus à l'époque du numérique, on est en présence d'un appareil argentique tout à fait rustique et manuel. Rien que le décalage constitue le début de l'aventure.

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  4. Absolument, je suis d'accord ! En plus en terme de consommation de piles, on s'y retrouve avec un Lomo. Une pile pour le flash, c'est tout !

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